L'année 2024, marquée par des échéances électorales cruciales comme les élections européennes et les élections législatives anticipées, a été décrite comme une période particulièrement "propice" à ce type d'opérations malveillantes.
Viginum, le service de l'État chargé spécifiquement de la lutte contre ces ingérences, a été en première ligne pour identifier et analyser ces menaces. Bien que les articles ne détaillent ni l'origine précise de ces attaques, ni leur nature exacte (désinformation, manipulation, cyberattaques), le nombre d'opérations détectées est en soi significatif.
Il confirme que la France est une cible récurrente et que les acteurs étrangers cherchent activement à influencer son débat public et ses processus électoraux. Cette révélation s'inscrit dans un contexte international de méfiance croissante envers les campagnes de manipulation orchestrées par des puissances étrangères, et souligne la nécessité d'une vigilance constante et de moyens de défense robustes pour préserver la souveraineté nationale et l'intégrité démocratique.











