Ce document contredit la version officielle d'un déficit imprévisible et expose au grand jour les profondes fractures au sein de l'ex-majorité présidentielle.
Selon les informations divulguées, l'ancien ministre de l'Économie avait formellement averti l'Élysée des risques, remettant ainsi en cause la défense du gouvernement qui a longtemps plaidé l'imprévisibilité de la situation.
Cette fuite est analysée par certains comme une "vengeance" de Bruno Le Maire, qui choisirait son moment pour fragiliser davantage un camp macroniste déjà en difficulté.
Une chronique souligne que "l'ex-majorité présidentielle craque de partout" et que l'ancien ministre "apporte sa pierre à ce délitement". L'affaire dépasse la simple question technique de la gestion budgétaire pour devenir un enjeu de crédibilité politique, suggérant une possible dissimulation de la réalité des finances publiques et illustrant une guerre interne au plus haut sommet de l'État.










