Plusieurs articles pointent vers un "délitement" du camp présidentiel.
Une chronique affirme que "l'ex-majorité présidentielle craque de partout", une situation illustrée par la révélation de la lettre de Bruno Le Maire sur le déficit. Parallèlement, une analyse plus fondamentale, tirée d'un livre, postule qu'"il n’y a jamais eu de peuple ou de France macroniste", décrivant une "révolution ratée". Dans ce contexte de fin de règne, la guerre de succession est ouverte.
Édouard Philippe, bien qu'"en difficulté", demeure une "carte maîtresse" pour la présidentielle.
Lui et Gabriel Attal se positionnent activement avec des projets politiques distincts, notamment sur les retraites, pour construire leur propre espace en vue des futures échéances.
Cette dynamique montre le passage d'un bloc uni derrière un chef à un ensemble de factions rivales préparant l'après-Macron.











