Cette décision annule une interdiction initiale et intervient dans un contexte géopolitique tendu, suscitant des réactions contrastées.
La décision a été annoncée le jeudi 13 novembre, autorisant "l'ensemble des entreprises israéliennes qui le souhaitent" à participer au salon, qui doit se tenir du 18 au 21 novembre. Auparavant, huit firmes israéliennes avaient été interdites de participation suite à une mise en demeure lancée le 5 novembre par un collectif d'associations, dans le contexte de la situation à Gaza. L'Élysée a justifié ce revirement par une "amélioration de la situation sur le terrain suite au cessez-le-feu" et la volonté de favoriser "un dialogue constructif" avec Israël. Ce changement de position de l'exécutif français sur un sujet diplomatiquement sensible illustre les difficultés de la France à maintenir une ligne cohérente sur le conflit israélo-palestinien et ses répercussions sur les événements organisés sur son territoire.











