Place de la République, il a déclaré : "La douleur demeure". Cet anniversaire a relancé le débat public sur l'état de la menace terroriste et la lutte contre l'islamisme en France.

Manuel Valls, Premier ministre au moment des faits, est intervenu sur TF1 pour affirmer qu'il "ne croit pas" à la déradicalisation de Salah Abdeslam, l'un des terroristes condamnés, et qu'il n'y a "pas un compromis possible" avec les terroristes islamistes. Les commémorations ont été un moment de réflexion nationale sur le traumatisme, la mémoire des "héros du 13-Novembre", et les défis persistants en matière de sécurité et de cohésion sociale.