Ayant enseigné vingt ans à Trappes, il livre un témoignage choc : « J'ai vu la charia s'appliquer dans mes classes ».
Ce constat alarmant est partagé par l'essayiste Joachim Le Floch-Imad, qui juge que « la situation est pire qu'il y a cinq ans ».
Ces prises de parole publiques mettent en lumière les difficultés rencontrées par le corps enseignant pour faire respecter les principes de laïcité et les valeurs républicaines. Le débat est alimenté par des faits divers, comme les perquisitions à la mairie de Colombes visant le directeur de cabinet, également responsable d'une école coranique, sur des soupçons d'« entrisme islamiste ». Ces événements soulèvent des questions sur la capacité de l'institution scolaire et des pouvoirs publics à endiguer un phénomène jugé menaçant pour la cohésion nationale.












