Ce geste présidentiel fort est perçu comme une main tendue vers les autorités algériennes.
L'Élysée a d'ailleurs salué publiquement cet événement comme ouvrant la perspective d'un « potentiel apaisement des relations entre Paris et Alger », se disant prêt à renouer le dialogue.
Cette séquence diplomatique intervient après des mois de tensions et de crises entre les deux pays. L'implication personnelle du chef de l'État français dans l'accueil de cette figure intellectuelle critique du pouvoir algérien est un acte politique significatif, qui pourrait marquer le début d'un nouveau chapitre dans les relations bilatérales complexes et souvent volatiles entre la France et l'Algérie.











