Face à l'ampleur de la polémique, l'exécutif a dû rapidement intervenir. La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a assuré que les enfants français n'iraient pas "combattre et mourir en Ukraine", tentant de dissocier la nécessité de préparation militaire de l'envoi effectif de troupes au sol. Cette controverse révèle une anxiété profonde au sein de la société française face à la dégradation du contexte géopolitique et met en lumière la difficulté pour les responsables militaires et politiques de communiquer sur des sujets aussi sensibles sans déclencher une crise de confiance.