Les articles fournis décrivent la transformation de l'essayiste et eurodéputé en une figure potentielle pour l'élection présidentielle, un parcours qui semble l'avoir mené des cercles intellectuels aux antichambres du pouvoir, comme le suggère une photo prise à l'hôtel de Matignon le 7 octobre 2025. Cette trajectoire ascendante, qui le positionne comme une alternative crédible à gauche, n'est cependant pas exempte de critiques et de scepticisme. Un des articles le qualifie sans détour d'« hologramme », une formule qui suggère un manque de substance, d'authenticité ou de véritable ancrage politique derrière une image médiatique soigneusement construite. Cette critique met en doute la consistance de sa proposition politique et de sa capacité à incarner une force de changement durable. La perception de Raphaël Glucksmann est donc ambivalente : d'un côté, une figure qui gagne en crédibilité et en stature, de l'autre, une personnalité dont la solidité et la profondeur politique sont remises en question. Les textes ne fournissent pas de détails sur les soutiens ou les programmes qui sous-tendent cette transformation, se concentrant sur l'image et la perception de sa nouvelle dimension politique.