Sa situation a mobilisé des organisations comme Reporters sans frontières.

Le procès en appel est un moment crucial, porteur d'un espoir de libération.

L'affaire se déroule sur fond de "tensions diplomatiques entre Paris et Alger", laissant craindre que le journaliste ne soit une victime collatérale du contexte politique. Son emprisonnement soulève de graves questions sur les risques encourus par les journalistes en Algérie et sur le traitement judiciaire des dossiers liés à l'activisme politique, notamment kabyle. La gestion du dossier par les autorités françaises et algériennes est scrutée. Pour la France, il s'agit de défendre un citoyen et la liberté de la presse sans provoquer d'incident diplomatique majeur. L'issue du procès sera un indicateur de l'état de l'indépendance judiciaire en Algérie et pourrait avoir des conséquences sur les relations franco-algériennes.