Face à ce survol "formellement interdit", un "dispositif de riposte a immédiatement été mis en place".

Le bataillon de fusiliers marins en charge de la protection du site a ouvert le feu, effectuant plusieurs "tirs anti-drone" dans le but d'abattre les engins. Cet événement n'est pas le premier du genre, mais sa cible, le cœur de la dissuasion nucléaire française, lui confère une gravité particulière.

Les articles soulèvent la question des intentions derrière cette intrusion, qualifiée de potentiellement "malveillante". Le fait que des drones puissent pénétrer l'espace aérien d'une zone aussi sensible pose d'importantes questions sur l'adaptation des systèmes de défense face à des technologies de plus en plus accessibles et difficiles à contrer. La réaction des fusiliers marins démontre que des protocoles existent, mais l'incident lui-même constitue un rappel brutal de la vulnérabilité des infrastructures critiques et de la nécessité de renforcer constamment les mesures de protection et de détection face à des menaces asymétriques.