Selon Nigel Farage, homme politique britannique proche de Donald Trump, le président américain est "frustré" par l'approche de Poutine.
M. Farage rapporte que le dirigeant russe "prouve chaque semaine qu'il n'est pas rationnel, qu'il ne veut pas d'un règlement juste, et franchement, c'est un homme incroyablement dangereux".
Cette évaluation offre un aperçu des coulisses des négociations, où les envoyés américains, dont Jared Kushner et Steve Witkoff, ont eu des entretiens directs avec Poutine, mais se sont heurtés à un mur.
Les propositions américaines, qui auraient été ajustées après consultation avec l'Ukraine et ses alliés européens, ont été rejetées par le Kremlin. Le plan de paix actuel est jugé inacceptable par des observateurs comme Farage, qui estime que Kiev ne peut pas "renoncer à des territoires pour la défense desquels des dizaines de milliers de vies ont été perdues".
Les conditions proposées, notamment des limites imposées à l'armée ukrainienne, s'apparenteraient à une "reddition inconditionnelle".
Cette impasse diplomatique, où Trump est présenté comme un "pacificateur" faisant de son mieux, souligne l'obstacle majeur que représente la position intransigeante de la Russie, rendant la perspective d'une paix juste et durable encore lointaine.











