En France, l'opposition politique monte également au créneau, à l'image du sénateur Bruno Retailleau qui a appelé Emmanuel Macron à sortir de « l'ambiguïté ».

La Commission espère un vote favorable au Conseil de l'UE, où une majorité qualifiée est requise. Il n'est pas certain que Paris puisse rallier une minorité de blocage, ce qui pourrait conduire à l'adoption d'un accord commercial majeur contre la volonté d'un État membre fondateur de l'UE.

L'issue reste suspendue à un vote qui n'a pas encore été programmé, tandis que les partenaires sud-américains, selon M. Šefčovič, manifestent leur « anxiété » face à ces atermoiements.