Le journaliste Thomas Legrand a jeté de l'huile sur le feu en dénonçant une "barbouzerie", une accusation grave qui suggère des méthodes opaques et politiquement orientées. Le contexte s'est encore complexifié avec la révélation par Europe 1 d'une rencontre secrète entre ce même journaliste et Laurence Bloch, l'ancienne directrice de France Inter. Lors de cet échange, des critiques violentes auraient été émises contre la direction actuelle de Radio France et de France Inter.

Ces éléments alimentent le débat sur les objectifs réels de cette commission d'enquête et sur d'éventuelles instrumentalisations politiques. Pendant ce temps, les auditions se poursuivent, avec notamment le passage de Sibyle Veil, directrice générale de Radio France, devant les députés.

L'ensemble de ces événements crée une atmosphère délétère qui fragilise l'image de l'audiovisuel public et interroge sur l'intégrité du contrôle parlementaire.