Plusieurs médias ont lancé des débats et des appels à questions sur ce sujet, reflétant une préoccupation croissante dans l'opinion publique.

La formulation même de la question - "La France est-elle en passe de devenir un 'narco-État' ?" - témoigne d'un changement de perception de la menace, qui n'est plus vue comme un simple problème de délinquance mais comme un enjeu de souveraineté. La ville de Marseille, et plus particulièrement ses quartiers nord, est citée comme l'épicentre de cette crise. La mort de Mehdi Kessaci, un mois auparavant, est présentée comme un événement marquant qui a ravivé les inquiétudes. Les articles décrivent une réalité où les points de vente de stupéfiants sont signalés ouvertement, illustrant une forme de territorialisation du crime organisé et un défi direct à l'autorité de l'État. Bien que les articles fournis ne détaillent pas les réponses politiques, ils cadrent le problème comme une crise politique majeure.

Ils soulignent l'urgence pour les autorités de répondre à une situation qui semble échapper à leur contrôle et qui nourrit un sentiment d'impuissance et de peur au sein de la population.