Ce dernier a fait valoir les risques juridiques et financiers considérables pour son pays, qui aurait été massivement exposé à d'éventuelles représailles russes.

La Belgique a reçu le soutien tardif mais décisif de l'Italie, menée par Giorgia Meloni.

Cette opposition a contraint les dirigeants européens à abandonner leur plan A. Vladimir Poutine a qualifié cette tentative de "vol", menaçant que les conséquences "pourraient être sévères pour les voleurs".

L'épisode a été analysé comme une défaite majeure pour le chancelier allemand Friedrich Merz et pour Ursula von der Leyen, et une victoire diplomatique pour la Belgique, qui a su défendre ses intérêts nationaux face aux plus grands pays de l'Union.