Cette déclaration, faite à la veille de nouveaux pourparlers de paix, sonne comme un avertissement aux pays occidentaux qui soutiennent Kiev.
En se disant prêt à continuer la guerre, Poutine met la pression sur l'Ukraine et ses alliés, suggérant que le coût humain et économique du conflit continuera de croître.
Il a également profité de cette tribune pour dénoncer ce qu'il a qualifié de tentative de "vol" des avoirs russes par l'Union européenne, affirmant que "tôt ou tard, ils devront tout rendre". Cette posture de défi s'inscrit dans une stratégie plus large visant à convaincre l'opinion publique russe et internationale que la Russie est en position de force et qu'elle ne cédera pas face aux pressions extérieures. Selon un titre d'article, Poutine estime pouvoir conclure l'année 2025 en position de force, notamment grâce à la perspective d'un changement d'administration aux États-Unis avec Donald Trump.
La conférence a ainsi servi à réaffirmer sa détermination et sa vision du conflit, malgré les difficultés économiques et les sanctions internationales.











