Certains y voient une "anatomie du mal" et un film "glaçant" qui explore la banalité du mal avec une intensité qui "secoue et malmène".

Samuel Douhaire le qualifie de "fascinant". D'autres, en revanche, jugent l'approche du réalisateur "outrancière" et entachée de "fautes de goût".

Marie Sauvion trouve le film "intolérable", estimant qu'il s'égare dans une esthétisation qui ne rend pas justice à la gravité du sujet.

La performance d'August Diehl est cependant largement saluée, incarnant un "monstre terriblement humain" et un "nazi déboussolé". Le film est ainsi perçu comme une expérience perturbante, qui renvoie à la persistance du mal et à la fragilité de la mémoire, mais dont le style baroque et la narration fiévreuse ne font pas l'unanimité.