Le film explore des thématiques actuelles et sensibles.
Il met en scène une professeure d'université (Julia Roberts) confrontée à un dilemme lorsque l'une de ses étudiantes (Ayo Edebiri) accuse un de ses collègues (Andrew Garfield) d'agression sexuelle, ravivant un sombre secret de son propre passé.
Lors de sa présentation à Venise, le film a fortement divisé la critique. Plusieurs journalistes ont jugé l'approche du réalisateur sur les violences sexuelles et la libération de la parole comme étant « obsolète », voire réactionnaire.
Une critique mentionne une « maladresse » dans le traitement des points de vue « woke ».
Face à la controverse, l'équipe du film a défendu l'ambiguïté de l'œuvre.
Julia Roberts a expliqué que l'intérêt résidait dans le contraste des points de vue, tandis que Luca Guadagnino a affirmé que le film « ne fait aucune déclaration ».
L'échec commercial aux États-Unis, où il n'a récolté que 3 millions de dollars pour un budget de plus de 70 millions, a probablement scellé son sort pour une sortie en salles en France, Prime Video en ayant acquis les droits de diffusion exclusifs.












