Cependant, ce projet de fusion n'est pas sans susciter des inquiétudes.

La CGT, notamment, a exprimé ses craintes quant aux conséquences sociales d'une telle opération.

Le syndicat redoute la création d'une situation de monopole qui pourrait entraîner des restructurations et des suppressions d'emplois dans les différents sites des trois entreprises. Les discussions se poursuivent pour définir les modalités précises de cette alliance, qui devra obtenir le feu vert des autorités de la concurrence nationales et européennes avant de pouvoir se concrétiser.