Face à cette impasse, les salariés se sont mobilisés à plusieurs reprises, notamment via une "opération escargot", pour attirer l'attention sur leur sort.

L'intersyndicale est désemparée, et la CGT a même évoqué une nationalisation comme ultime recours pour sauver ce bastion de l'industrie sidérurgique mosellane.

Le député socialiste Belkhir Belhaddad a également appelé l'État à "prendre ses responsabilités" pour éviter la fermeture du site.

Le dossier illustre les difficultés persistantes du secteur industriel français à trouver des repreneurs viables pour des sites historiques confrontés à des difficultés économiques.