Ces gains ont d'ailleurs contribué à l'envolée des profits trimestriels du conglomérat.

Cette opération de désinvestissement n'est pas un signe de défiance envers Nvidia, mais plutôt une réallocation de capital vers des start-ups et des projets jugés à plus fort potentiel de croissance par le "mégafonds japonais". SoftBank, décrit comme un "improbable mastodonte japonais de la tech mondiale", a investi des sommes colossales dans des centaines de start-ups et continue de miser "à fond sur l’intelligence artificielle pour se refaire un nom après plusieurs années compliquées". La vente de la participation dans Nvidia s'inscrit donc dans cette logique de gestion active de portefeuille, où les succès d'hier financent les paris de demain.