Si la Cour de cassation, qui doit se prononcer le 25 novembre, suit cet avis, la menace d'une OPR serait définitivement écartée. L'annonce de cet avis a eu un effet immédiat et violent sur le cours de l'action Vivendi, qui a plongé de 12 % à 15 %.

Les investisseurs qui espéraient une indemnisation ou une porte de sortie via l'OPR ont vu leurs espoirs anéantis.

Les articles décrivent la situation des actionnaires minoritaires comme étant désormais « prisonniers » d'un véhicule d'investissement décoté.

Cette affaire met en lumière les techniques de « contrôle rampant » et les batailles juridiques complexes qui peuvent en découler, avec des conséquences financières considérables pour les petits porteurs.