Anta Sports, qui détient déjà un portefeuille de marques internationales incluant Fila et Salomon, chercherait par cette opération à renforcer son empreinte mondiale en s'emparant d'un nom iconique du sportswear.
Ces spéculations interviennent alors que Puma traverse une période difficile, ayant enregistré une perte nette de 309 millions d'euros sur les neuf premiers mois de l'année. Un rachat pourrait lui apporter une nouvelle dynamique et des moyens financiers accrus, bien que certains analystes s'interrogent sur la vulnérabilité de la marque, la qualifiant de potentielle proie pour des « prédateurs ». La perspective d'un passage sous pavillon chinois s'inscrit dans une tendance plus large où les entreprises chinoises, fortes de leur succès sur leur marché domestique, cherchent à acquérir des savoir-faire et des marques à forte notoriété en Europe pour accélérer leur expansion internationale.








