Cependant, cette issue s'accompagne d'une « réalité brutale » sur le plan social.

Le plan de reprise prévoit la suppression de près de 500 emplois sur un effectif total d'un peu plus de 1 000 personnes en France. Seuls 546 salariés et 119 points de vente seront conservés.

Cette restructuration drastique est présentée comme une nécessité pour assurer la survie de l'entreprise dans un marché de l'habillement en crise profonde. La situation d'IKKS est ainsi décrite comme emblématique des difficultés que rencontrent de nombreuses enseignes de prêt-à-porter en France, confrontées à une concurrence intense et à des changements dans les habitudes de consommation.