L'ancien Premier ministre britannique Tony Blair y jouerait un rôle clé.

L'approche de Trump, qualifiée de « paix par la force », a été saluée en Israël où il a été accueilli en héros.

Lors d'un discours à la Knesset, il a proclamé « l'aube historique d'un nouveau Moyen-Orient ». Cependant, ce plan est critiqué pour son manque de clarté sur des questions fondamentales comme la création d'un État palestinien, la colonisation en Cisjordanie ou le droit international. Des analystes estiment que ce plan s'apparente à l'instauration d'un protectorat sur Gaza et qu'il est écrit « en langage israélien », ignorant largement les aspirations palestiniennes, ce qui pourrait compromettre sa viabilité à long terme.