Co-présidé par le président américain Donald Trump et son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, l'événement a réuni une trentaine de dirigeants mondiaux pour garantir la pérennité du cessez-le-feu. Le sommet visait à cimenter l'accord de paix en obtenant l'engagement des puissances régionales et internationales. Les pays médiateurs — États-Unis, Égypte, Qatar et Turquie — ont signé une déclaration commune en tant que « garants » de l'accord, s'engageant à « résoudre tout différend qui pourrait surgir par la diplomatie et la négociation ».
Donald Trump a qualifié cette journée de « formidable pour le Moyen-Orient », affirmant que la paix était enfin atteinte.
La rencontre a été l'occasion de discussions sur l'avenir de Gaza, notamment sa reconstruction et sa gouvernance future.
Fait notable, ni les dirigeants israéliens ni les représentants du Hamas n'étaient directement présents, bien que le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ait participé et ait eu un échange avec Donald Trump. Cette absence des principaux belligérants souligne que le sommet visait avant tout à construire un consensus international et à mettre en place un cadre de surveillance pour l'application de l'accord. Le président français Emmanuel Macron était également présent et a affirmé que « le Hamas n'a aucune place à Gaza ».
Le sommet a donc servi de plateforme pour Donald Trump afin de réaffirmer son leadership sur ce dossier et de mettre en scène le soutien international à son initiative, tout en posant les bases d'une administration de transition pour l'enclave palestinienne.











