Ces visites visent à consolider l'accord et à exercer une pression maximale sur les deux parties pour éviter une reprise du conflit.

Le vice-président américain J.D. Vance et le secrétaire d'État Marco Rubio se sont rendus en Israël pour des entretiens avec le Premier ministre Benjamin Netanyahou.

J.D.

Vance a qualifié les prochaines étapes, notamment le désarmement du Hamas et la reconstruction de Gaza, de « très, très difficiles ». De leur côté, les émissaires spéciaux Steve Witkoff et Jared Kushner, gendre de Donald Trump, ont également rencontré M. Netanyahou pour discuter des « développements dans la région ». Cette succession de visites de haut niveau illustre la détermination de Washington à donner une chance à la paix.

Parallèlement à cette diplomatie directe, le président Trump a adopté un ton menaçant envers le Hamas.

Il a averti que le mouvement serait « éradiqué » s'il ne respectait pas l'accord, déclarant que « la fin du Hamas sera RAPIDE, TERRIBLE ET BRUTALE !

».

Cette double approche, combinant dialogue et menaces, montre que l'administration américaine se sent directement responsable de la mise en œuvre de l'accord.

Un responsable américain a même affirmé : « C'est nous qui allons prendre les décisions ».

Les États-Unis cherchent également à impliquer d'autres pays dans la stabilisation, excluant le déploiement de troupes américaines au sol mais cherchant des partenaires pour contribuer à une future force de sécurité internationale.