L'armée israélienne a clairement averti que "tout franchissement pourrait entraîner une riposte immédiate".

Cette menace s'est déjà concrétisée, plusieurs Palestiniens ayant été tués par des tirs israéliens pour s'être approchés de la ligne. Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a qualifié cette démarcation de "frontière sécuritaire et politique". Pour les Palestiniens, cette ligne est une source de danger et d'incertitude. Une ONG juridique israélienne dénonce une "frontière floue" qui bloque l'accès d'une partie de la population à ses habitations, terres agricoles et infrastructures.

Les équipes de recherche de corps d'otages ont été autorisées à pénétrer "au-delà de la ligne jaune", mais sous stricte supervision militaire, illustrant le contrôle qu'exerce Israël sur cette nouvelle zone tampon.