Il a offert une justification sans équivoque à l'opération militaire israélienne, déclarant aux journalistes : "Ils ont tué un soldat israélien.

Donc les Israéliens ripostent.

Et ils devraient riposter".

Cette déclaration a été perçue comme un feu vert diplomatique à l'action d'Israël, confirmant la position de la Maison Blanche qui avait déjà été informée de l'attaque contre le soldat.

Le vice-président américain JD Vance avait également affirmé que "la paix du président [Donald Trump] va tenir" à Gaza, montrant une administration unie dans son discours. En se positionnant ainsi, Donald Trump a cherché à la fois à réaffirmer son rôle de médiateur puissant et à préserver son allié stratégique au Moyen-Orient. Son optimisme affiché quant à la solidité de la trêve visait à contenir la crise et à éviter qu'elle ne dégénère en une guerre totale, ce qui aurait représenté un échec pour sa diplomatie. Cette double posture, justifiant la violence tout en prônant la paix, illustre la complexité de l'approche américaine dans le conflit, où le soutien à la sécurité d'Israël prime tout en cherchant à maintenir une stabilité régionale précaire.