L'opération a repris le dimanche 26 octobre, avec l'arrivée sur le sol français d'un groupe de 20 Palestiniens.
Ce chiffre est cependant inférieur à ce qui était initialement prévu, suggérant des difficultés persistantes dans l'organisation de ces transferts.
Selon les informations rapportées, le ministère français des Affaires étrangères avait suspendu ces évacuations au cours de l'été. Cette interruption était due à une "faille" ou à des "problèmes de vérification", sans que plus de détails ne soient fournis sur la nature exacte de ces obstacles. La reprise de ces évacuations, même à une échelle modeste, représente une mesure humanitaire significative dans le contexte de la crise profonde qui frappe la bande de Gaza. Elle offre une voie de sortie pour un petit nombre de personnes cherchant à fuir le territoire palestinien, ravagé par la guerre et soumis à un blocus. Cet événement souligne également le rôle diplomatique et humanitaire que la France continue de jouer dans la région, en dépit des complexités politiques et sécuritaires sur le terrain.











