L'administration américaine de Donald Trump est à l'origine du plan de paix et reste l'acteur central, exerçant une pression sur les parties tout en justifiant les actions de son allié israélien. L'Égypte et le Qatar agissent comme médiateurs essentiels, facilitant les négociations et la mise en œuvre de l'accord.
L'Égypte a notamment envoyé un convoi avec des engins de chantier à Gaza pour aider à la recherche des corps d'otages, une implication concrète sur le terrain.
De son côté, la Turquie cherche à jouer un rôle plus important. Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a annoncé l'organisation d'une réunion à Istanbul avec des pays musulmans pour discuter de la durabilité de la trêve. Cependant, l'ambition turque de participer à la future force internationale se heurte au veto israélien.
Enfin, la France a également confirmé son implication, le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot annonçant que des militaires et civils français ont été envoyés en Israël pour participer à la planification et à l'organisation de l'après-guerre, signalant un engagement européen dans la recherche d'une solution à long terme.











