La séquence des événements a été particulièrement rapide et violente : après la mort d'un soldat israélien, l'armée a riposté avec une force qui a causé plus de 100 morts palestiniens. Cet épisode aurait pu signer la fin de la trêve en vigueur depuis le 10 octobre.
Cependant, quelques heures seulement après le début des raids, l'armée israélienne a annoncé un retour au cessez-le-feu.
Cette décision a été immédiatement appuyée par les principaux acteurs diplomatiques.
Le président américain Donald Trump, tout en justifiant la riposte israélienne, a affirmé que "rien" ne compromettrait l'accord. De même, le Premier ministre qatari, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, a assuré que "le cessez-le-feu tient toujours pour l'instant".
Cette coordination rapide entre Israël et les médiateurs pour contenir l'escalade et réaffirmer la validité de la trêve démontre l'importance stratégique accordée à cet accord.
Il semble que toutes les parties, malgré les tensions extrêmes, considèrent que le maintien du cessez-le-feu, même fragile, est préférable à une reprise totale de la guerre.











