D'une part, le président Trump a cherché à rassurer en affirmant que "rien" ne compromettrait le cessez-le-feu qu'il a parrainé.

Son vice-président, JD Vance, a également déclaré que "la paix du président va tenir".

D'autre part, Donald Trump a clairement endossé la responsabilité de l'escalade au Hamas et a justifié la réaction d'Israël.

S'exprimant à bord d'Air Force One, il a déclaré : "Ils ont tué un soldat israélien.

Donc les Israéliens ripostent.

Et ils devraient riposter."

Cette déclaration publique constitue un soutien sans équivoque à son allié et un avertissement au Hamas. Cette position s'inscrit dans la continuité d'un ultimatum que le président américain avait posé quelques jours plus tôt, donnant 48 heures au Hamas pour restituer les corps des otages, faute de quoi "les autres pays impliqués dans cette GRANDE PAIX prendront des mesures". Cette stratégie de pression maximale, combinant menaces et soutien public à la riposte, vise à contraindre le Hamas à respecter ses engagements tout en évitant un effondrement total de l'accord.