Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a condamné "fermement" ces attaques qui sapent le cessez-le-feu et mettent en danger les civils. Malgré la violence des frappes, l'armée israélienne a annoncé un retour au cessez-le-feu le lendemain matin, une décision soutenue par l'administration américaine, qui a légitimé le droit d'Israël à la riposte. Cet événement a ravivé la peur d'une reprise de la guerre chez les habitants de Gaza, déjà confrontés à une situation humanitaire désastreuse.