Ses missions seraient multiples : former et soutenir une future police palestinienne, sécuriser les zones frontalières et empêcher la contrebande d'armes vers le Hamas. L'Égypte et la Jordanie sont citées comme des partenaires potentiels pour soutenir cette force. Cependant, la composition de cette force est un sujet de discorde. Israël a clairement exprimé son opposition à la participation de la Turquie, qu'il juge trop proche du Hamas et non "impartiale".
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a insisté sur ce critère d'impartialité pour tout pays souhaitant rejoindre l'ISF.
La Jordanie et l'Allemagne ont, de leur côté, souligné que cette force devrait bénéficier d'un mandat clair du Conseil de sécurité de l'ONU avant tout engagement. Le plan Trump aborde également des phases ultérieures incluant le désarmement du Hamas, une amnistie ou l'exil de ses combattants, et la poursuite du retrait israélien. La mise en œuvre de ce plan complexe reste suspendue à la stabilisation du cessez-le-feu et à la résolution des contentieux actuels, notamment la restitution de toutes les dépouilles d'otages.











