Son implication est mentionnée à plusieurs reprises comme étant le canal par lequel les corps sont remis aux autorités israéliennes.
D'autres pays sont également impliqués dans la planification de l'après-guerre. La Jordanie et l'Allemagne ont exprimé une position commune sur la future force internationale de stabilisation, estimant qu'elle devrait bénéficier d'un mandat clair du Conseil de sécurité de l'ONU avant tout engagement. L'Égypte et la Jordanie sont également citées comme des partenaires potentiels pour soutenir cette force et sécuriser les frontières de Gaza. Enfin, la Turquie tente de se positionner en leader d'un bloc de pays musulmans pour peser sur les négociations, bien que son rôle soit contesté par Israël. L'ensemble de ces interventions souligne que la gestion de la crise dépasse largement les acteurs locaux et dépend d'un équilibre diplomatique et humanitaire complexe au niveau international.











