Cet événement, qualifié de « drame » et d'« échec complet » par l'armée israélienne, a également vu l'enlèvement de plus de 250 personnes, déclenchant une guerre de deux ans. En représailles, l'armée israélienne a lancé une campagne militaire dévastatrice sur la bande de Gaza. Selon le ministère de la Santé de Gaza, dont les chiffres sont jugés fiables par l'ONU, plus de 69 000 Palestiniens ont été tués. Les articles précisent que la majorité de ces victimes sont des civils.

Le ministère ne distingue pas le nombre de combattants tués dans ce total.

Ces chiffres effroyables forment la toile de fond des négociations actuelles et des efforts diplomatiques. Ils expliquent la pression internationale pour un cessez-le-feu durable et la complexité des questions humanitaires, comme la restitution des dépouilles et la libération des prisonniers. Le bilan humain est également au cœur des accusations de « génocide » portées par la Turquie contre les dirigeants israéliens, illustrant comment le coût humain du conflit alimente les tensions diplomatiques et les procédures judiciaires internationales.

Chaque étape des négociations, chaque échange de corps, est ainsi un rappel constant du nombre immense de vies perdues.