Selon un porte-parole militaire israélien, le mouvement chiite reconstitue ses capacités militaires au sud du fleuve Litani et fait entrer des armes depuis la Syrie. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a menacé le Hezbollah, et l'armée israélienne a affirmé avoir mené des frappes contre des positions du groupe, tuant 15 de ses membres depuis début novembre. En outre, des responsables libanais et des habitants du sud accusent Israël d'entraver délibérément la reconstruction en ciblant les engins de chantier, ce qui prolonge les souffrances des populations déplacées et maintient un état de guerre de facto.