Les chiffres rapportés dans les articles font état de plus de 1 200 morts côté israélien et de près de 70 000 Palestiniens tués.
Les articles fournis s'appuient sur des décomptes précis pour quantifier l'ampleur des pertes humaines.
Du côté israélien, l'attaque du Hamas a entraîné la mort de 1 221 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Cette attaque est qualifiée de "sans précédent" et de "sanglante", marquant le point de départ de l'escalade militaire actuelle. En représailles, la campagne militaire israélienne a causé la mort de plus de 69 500 Palestiniens dans la bande de Gaza, selon les chiffres du ministère de la Santé de Gaza.
Il est précisé que ces données sont jugées fiables par les Nations unies.
Les articles soulignent également une caractéristique démographique tragique de ce bilan : le ministère de la Santé de Gaza, bien qu'il ne détaille pas le nombre de combattants tués, indique que "plus de la moitié des morts sont des mineurs et des femmes". Cette statistique met en évidence l'impact dévastateur du conflit sur la population civile de l'enclave palestinienne. L'asymétrie des bilans et la forte proportion de victimes non-combattantes à Gaza constituent des éléments centraux et récurrents de la couverture médiatique du conflit.











