Cette dynamique du "qui a commencé ?"

est récurrente dans le conflit.

L'armée israélienne soutient qu'elle ne frappe qu'en riposte à des violations de la trêve, tandis que le Hamas l'accuse de provoquer délibérément des incidents pour justifier ses agressions. En l'absence d'un mécanisme de surveillance neutre et efficace sur le terrain, il est presque impossible de vérifier de manière indépendante les affirmations de chaque partie, comme le souligne l'AFP. Cette situation permet à chaque camp de construire son propre narratif et de justifier ses actions militaires auprès de son opinion publique et de la communauté internationale, au détriment de la population civile qui subit les conséquences directes de cette instabilité chronique.