Le plan est soutenu par plusieurs pays arabes, dont l'Égypte, la Jordanie, le Qatar et l'Arabie saoudite.

Israël a salué l'initiative, insistant sur les aspects de "démilitarisation complète, désarmement et déradicalisation de Gaza".

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a même appelé les pays voisins à "expulser le Hamas et ses partisans de la région", une position qui semble plus dure que le plan lui-même, celui-ci proposant une amnistie aux membres du Hamas qui renonceraient à la violence. À l'inverse, le Hamas a rejeté catégoriquement la résolution, la qualifiant de "mécanisme de tutelle internationale" qui ne répond pas aux droits du peuple palestinien et vise à le désarmer. Pour le mouvement islamiste, toute force internationale tentant de le désarmer perdrait sa neutralité.

Des analystes notent que la résolution est accueillie avec scepticisme sur le terrain, où beaucoup craignent qu'une occupation ne change simplement de visage.