L'armée israélienne a justifié ses actions en affirmant frapper des "cibles terroristes du Hamas" en riposte à des tirs "en direction de la zone où [ses] soldats opèrent à Khan Younès".
Le Hamas a qualifié cette justification de "piètre tentative" et a dénoncé une "escalade dangereuse", appelant les États-Unis à faire pression sur Israël.
Cette résurgence de la violence est perçue par certains comme la preuve que le cessez-le-feu n'est qu'un "sursis absurde".
Des civils gazaouis expriment leur terreur et leur désespoir.
"Ma petite fille n'a cessé de me demander toute la nuit : la guerre va-t-elle revenir ?
", a témoigné une habitante.
Un autre déplacé vivant sous une tente à Khan Younès déplore que "rien n'a changé, concrètement", évoquant les villes en ruines et les conditions de vie précaires.
Le Qatar, pays médiateur, a condamné fermement ces attaques qui menacent de compromettre l'accord de trêve.












