Le Hezbollah a rapidement confirmé la mort de son chef militaire, présenté par l'armée israélienne comme "le plus important commandant du Hezbollah".

Cette opération s'inscrit dans une série d'éliminations de hauts responsables du mouvement, comme celles de Hassan Nasrallah et Hachem Safieddine en 2024.

La frappe a été revendiquée par Israël, le Premier ministre Benyamin Netanyahou assurant que son pays "ne permettra pas au Hezbollah de reconstruire son pouvoir". L'Iran, allié du Hezbollah, a fermement condamné cet assassinat, qualifiant la frappe d'acte de terrorisme. Plusieurs articles établissent un lien direct entre cet événement et la situation à Gaza, l'un d'eux titrant "Gaza : le chef militaire du Hezbollah tué au Liban".

Cette action est perçue comme un avertissement d'Israël, soulevant des craintes d'une "explosion à grande échelle" dans la région.

L'élimination d'une figure aussi centrale de l'appareil militaire du Hezbollah représente un coup stratégique majeur pour le mouvement pro-iranien et intensifie le risque d'une confrontation directe et plus large entre Israël et le Hezbollah.