Un article fait état d'un cessez-le-feu avec le Hamas en date du 10 octobre 2025.

Il souligne cependant que, malgré cet accord, l'armée israélienne continue ses frappes dans la bande de Gaza, au risque d'une escalade, une action justifiée par le droit d'Israël à la sécurité et soutenue par Washington. Un autre article propose une critique virulente de la réalité de cette trêve sur le terrain. Le journaliste Ibrahim Badra y dénonce "l'hypocrisie d'une trêve" au cours de laquelle des Palestiniens sont toujours tués par Israël et des quartiers entiers sont visés par des bombardements. Il décrit la situation en des termes crus, affirmant que "Le cessez-le-feu n’est qu’un délai accordé dans le processus d’exécution". Cette perspective suggère que le cessez-le-feu n'est pas une véritable étape vers la paix, mais simplement une pause tactique dans une campagne militaire continue. La combinaison de ces informations dresse le portrait d'un cessez-le-feu extrêmement précaire et largement inefficace, où la cessation des hostilités est au mieux nominale, et où la menace d'une reprise de la violence à grande échelle reste constante pour la population civile de Gaza.