Ces attaques ont notamment abouti à l'élimination du chef militaire du mouvement, Haitham Ali Tabatabai, dans la banlieue de Beyrouth.

Les articles documentent une escalade significative des actions militaires israéliennes contre le Hezbollah au Liban.

Un an jour pour jour après la signature d'un cessez-le-feu le 27 novembre 2024, l'armée israélienne a mené de nouvelles frappes, déclarant démanteler des "infrastructures terroristes" et viser des sites de lancement d'armes. Israël justifie ces actions comme étant "conformes aux termes du cessez-le-feu en contrant les tentatives du Hezbollah de se reconstruire et de se réarmer".

La situation est décrite par le Premier ministre libanais Nawaf Salam comme une "guerre d'usure unilatérale qui s'intensifie".

Un développement majeur a été l'assassinat ciblé du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai, lors d'une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth. L'attaque, qui a fait cinq morts au total, a été confirmée à la fois par le Hezbollah et par l'armée israélienne, qui a décrit Tabatabai comme "le plus important commandant du Hezbollah".

Cet assassinat a suscité la condamnation de l'Iran. Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a averti qu'il n'y aurait "pas de calme" au Liban sans sécurité pour Israël, promettant que "la pression maximale continuera d'être exercée et même s'intensifiera". Ces événements soulignent la fragilité du cessez-le-feu et le risque élevé d'un conflit régional plus large découlant de la guerre à Gaza.