Même durant les périodes de trêve, la population civile continue de subir des pertes et des destructions. Le coût humain de la guerre à Gaza est mis en lumière à travers des récits personnels et des rapports sur la violence continue.

Un article raconte l'histoire d'Eslam Idhair, un journaliste gazaoui indépendant. Fin 2023, sa maison a été la cible d'un bombardement israélien.

Il a survécu avec des blessures, mais ses quatre enfants ont péri.

Lui et sa femme ont finalement été évacués de Gaza en mai 2024 et ont trouvé refuge en France.

Ce témoignage offre un aperçu brutal et personnel de l'impact dévastateur du conflit sur les familles.

Le contexte plus large de la souffrance des civils est renforcé par un autre rapport qui note que même pendant un prétendu cessez-le-feu, "des Palestiniens sont toujours tués par Israël, et des quartiers entiers sont visés par des bombardements". La réponse de la communauté internationale, telle que le plan Trump validé par l'ONU, reconnaît la nécessité de la reconstruction et s'attaque aux "besoins de la population". Cependant, le plan est accueilli avec scepticisme sur le terrain, où la réalité immédiate est celle d'un danger et de pertes continus.

Ces articles dépeignent collectivement une situation humanitaire désastreuse où les civils sont pris entre deux feux, subissant d'immenses tragédies personnelles et ne trouvant que peu de répit même pendant les pauses officielles des combats.