Malgré un cessez-le-feu en place, les frappes se multiplient, soulevant des questions sur la stratégie d'Israël et ses conséquences humanitaires. Les articles rapportent une continuité des actions militaires israéliennes, malgré l'existence d'un cessez-le-feu signé le 10 octobre 2025 avec le Hamas.
L'armée israélienne communique sur des opérations ciblées, affirmant par exemple avoir tué "plus de 40 combattants palestiniens" en une semaine lors d'opérations visant les tunnels près de Rafah, dans le sud de l'enclave palestinienne.
Cette communication met l'accent sur la lutte contre les infrastructures du Hamas.
Cependant, cette vision est contrebalancée par une condamnation internationale croissante.
Plusieurs sources mentionnent que l'armée israélienne est accusée de "crimes de guerre et de génocide". Cette dichotomie est au cœur de la perception du conflit : d'un côté, un narratif sécuritaire axé sur l'élimination de menaces terroristes ; de l'autre, une critique virulente de l'impact dévastateur des opérations sur la population civile. Le fait que les frappes se multiplient malgré un accord de cessez-le-feu suggère qu'Israël estime avoir "les mains libres", potentiellement avec le soutien de Washington, pour poursuivre ses objectifs militaires.
Cette situation illustre la fragilité des accords et la détermination d'Israël à agir unilatéralement pour sa sécurité. Fait notable, malgré les divisions politiques internes, la société israélienne semble faire "bloc derrière son armée" concernant les opérations à Gaza, ce qui contraste fortement avec la réprobation d'une grande partie de la communauté internationale.












