Le Qatar, qui joue un rôle de médiateur central dans le conflit, estime que le cessez-le-feu ne peut être considéré comme complet sans « un retrait total des forces israéliennes » du territoire palestinien.

Cette condition souligne la distance qui sépare encore les parties d'un règlement définitif.

La diplomatie s'active pour tenter de consolider cet accord, comme en témoigne la visite du chancelier allemand Friedrich Merz en Israël, dont l'un des objectifs est d'évoquer les efforts pour aboutir à une « deuxième phase du cessez-le-feu ». Cependant, la poursuite des bombardements, même de manière sporadique, montre que le chemin vers une désescalade durable est semé d'embûches et que la confiance entre les belligérants reste quasi inexistante.