Cette divergence met en lumière un point de friction majeur.

Pour Israël, permettre uniquement les sorties pourrait être une mesure sécuritaire, tandis que pour l'Égypte et les organisations humanitaires, un accès bidirectionnel est crucial pour l'entrée de l'aide humanitaire et le retour éventuel des civils.

Huit pays musulmans ont également dénoncé le projet israélien.

Le poste-frontière de Rafah, contrôlé par l'armée israélienne depuis mai 2024, est un point de passage vital pour l'enclave palestinienne, qui fait face à une grave crise humanitaire.